Promesses

« Je promets que l’âme qui honorera cette image, ne sera pas perdue. Je lui promets aussi la victoire sur ses ennemis dès ici bas, et, spécialement à l’heure de la mort. Moi-même je la défendrai comme Ma propre gloire » (Journal, 48)

« Au moyen de cette image je comblerai aux âmes avec merci beaucoup, par cela que chaque âme a accès à elle » (Journal, 570)

« Je présente aux hommes un moyen, avec lequel ils doivent venir puiser la grâce à la source de la Miséricorde. Ce moyen, c’est cette image, avec l’inscription : « Jésus, j’ai confiance en Vous! » (Journal, 327)

« Ces rayons protègent aux âmes de l'indignation de Mon père. Celui qui vivat bienheureux à l'ombre de d'eux, parce qu'il ne lui atteindra pas la juste main de Dieu » (Journal, 299)

Jésus a dit qu'il préserverait les villes et les maisons dans lesquelles on trouverait cette Image. (Note : Les importantes populations Cracovie et de Vilna, où était établie cette dévotion, ont été préservées de la destruction presque totale de la Pologne dans la Seconde guerre mondiale.)

Aux âmes qui Confient :

« L'âme qui confie Ma miséricorde est la plus heureuse parce que j'ai des soins de d'elle » (Journal, 1273)

« Les remerciements de Ma miséricorde sont pris avec un seul récipient et celui-ci est la confiance. Tout au plus confie une âme, d'autant plus il recevra. Les âmes qui confient sans limite sont Mon grand réconfort, parce que dans de telles âmes je verse tous les trésors de Mon merci. Je me réjouis ils demandent beaucoup parce que Mon désir qu'est de donner beaucoup, énormément » (Journal, 1578)

« J'ai ouvert Mon cœur comme une source vive de miséricorde. Qui toutes les âmes prennent de la vie de d'elle. Qui s'approchent avec une grande confiance à cette mer de miséricorde. Les pécheurs obtiendront la justification et les justes seront fortifiés dans le bien. À auquel il a déposé sa confiance Ma miséricorde, dans l'heure du décès le je comblerai l'âme avec Ma paix divine » (Dario, 1520)

« Aucune âme qui a invoqué Ma miséricorde n'a été déçue ni a senti une confusion. Je me fais plaisir particulièrement dans l'âme qui confie Ma bonté. » (Journal, 1541)

« Celui qui confie ma miséricorde il ne périra pas parce que toutes ses affaires sont Les mien et les ennemis seront brisés aux pieds de Mon escabeau » (Journal, 723)

À auxquelles ils propagent la Miséricorde Divine :

« Aux âmes qui propagent la dévotion miséricorde, je les protège pendant toute sa vie comme une mère affectueuse à son enfant récemment né et au moment du décès je ne serai pas pour elles le Juge, mais l’Sauveur Miséricordieux " (Journal, 1075)

« … à tous ceux qui proclament cette grande miséricorde La mien. Lui je les défendrai dans l'heure du décès comme Ma gloire même si les péchés des âmes sont noirs comme la nuit » (Journal, 379)

« Toutes les âmes qui Adorent Ma miséricorde et propagent la dévotion en invitant à d'autres âmes à confier Ma miséricorde n'éprouveront pas terreur dans l'heure du décès. Ma miséricorde les protégera dans ce dernier combat » (Journal, 1540).

À auxquelles ils prient au moment de la miséricorde (3 : 00 heure du soir) :

« Dans cette heure nage le sera nié à l'âme que le demande par les mérites de Ma Passion… « (Journal, 1320)

« Dans cette heure tu peux obtenir tout ce que tu demandes pour toi et pour autres. Dans cette heure on a établi la tolérance pour le monde complet : la miséricorde a triomphé sur la justice » (Journal, 1572)

À auxquelles ils prient le Chapelet à la Miséricorde Divine :

« Je défends chaque âme à l’heure de la mort comme Ma propre gloire. Que l’on récite ce hapelet soi-même,ou bien que d’autres le récitent pour l’agonisant, l’indulgence est la même. Quand on le récite auprès de l’agonisant, la colère divine s’apaise, la miséricorde insondable s’empare de son âme et les profondeurs de Ma miséricorde sont émues par la douloureuse Passion de Mon Fils. » (Journal, 810)

« Si l’on récite ce chapelet auprès d’un agonisant, je me tiendrais entre le Père et l’âme agonisants, non pas en tant que Juge juste, mais comme Sauveur miséricordieux. » (Journal, 1541)

« Il prie incessamment cette l’petite couronne qui t'ai enseignée. Quiconque il la prie il recevra une grande Miséricorde au moment du décès. Les prêtres la recommanderont aux pécheurs comme le dernier tableau de salut " (Journal, 687)

« Quand elle ils prieront par les pécheurs endurcis, je comblerai ses âmes de paix et l'heure de son décès sera heureuse. » (Journal, 1541)

« Par le biais d'elle tu obtiendras tout, si ce qui demandes est d'accord avec Ma Volonté. « (Journal, 1731)

À auxquelles ils prient la Neuvaine à la Miséricorde Divine :

« Pendant ce neuf jours de prier j'accorderai aux âmes toute classe de merci » (Journal, 796)

Aux prêtres :

« Di à mes prêtres que les pécheurs les plus endurcis seront ramolli sous leurs mots quand ils parleront de Ma miséricorde insondable, de la compassion qui ai pour eux dans Mon Cœur. Aux prêtres qui proclament et font l'éloge de Ma miséricorde, je leur donnerai une force prodigieuse et oindre ses mots et agiterai les cœurs à le quels parlent » (Journal, 1521)

Pour les pécheurs :

« Quand tu prieras ce discours avec peur cœur et avec foi par un certain pécheur, je lui accorderai la tolérance de la conversion. Ce discours est la suivante :
Oh Purge et Eau qui as poussé du Cœur Jésus comme une source de Miséricorde pour nous, dans Toi «

Dans la Festivité de la Miséricorde Divine, deuxièmement Dimanche de Pâque (Dimanche postérieur à à celui de Résurrection) :

« J'ai donné aux âmes que leur donne Ma miséricorde comme défense, combats par elles Je seulement et supporte la colère juste de Mon père. , cette Festivité a poussé de elles entraînes de Ma miséricorde pour le réconfort du monde complet » (Journal, 1517)

« . .refuge et abri pour toutes les âmes et, spécialement, pour les pécheurs pauvres. L'âme qu'il est admis et reçoit la Sainte Communion obtiendra le pardon total des fautes et des peines. Qui aucune âme a de la peur de s'approcher, même si ses péchés sont comme tache rouge. L'humanité ne connaîtra pas la paix tant qu'elle ne se adresse pas à la source de Ma miséricorde » (Journal, 699)